Merci à Monique sans qui Polynésia n’existerait tout simplement pas… Monique, ma femme et le second du Toa Marama, avec laquelle je navigue depuis bien des années sous les étoiles du ciel profond comme sur les routes de la vie, qui a été la première à m’encourager et dont la foi dans le premier roman, comme dans les deux autres, n’a jamais faibli, qui a toujours été présente pour canaliser le bouillonnement de la création, qui n’a jamais dit non à une nième relecture, et surtout merci à elle d’être entrée dans cette odyssée sous le nom d’Alpha. Merci à elle surtout d’être entrée dans ma vie, comme je sais qu’elle me remercie d’être entré dans la sienne.
« Poussière sur le blé, et sable sur les sables,
l’eau errante et le temps, et le vent vagabond
nous emportaient tous deux comme graine embarquée.
Nous pouvions dans ce temps ne pas nous rencontrer. »
Pablo Neruda
« Poussière sur le blé, et sable sur les sables,
l’eau errante et le temps, et le vent vagabond
nous emportaient tous deux comme graine embarquée.
Nous pouvions dans ce temps ne pas nous rencontrer. »
Pablo Neruda